Un atelier d’AfrAli, ayant pour thème : «Défis sociétaux et gouvernances des universités Africaines : le cas Aliments au Maroc, en RDC et au Sénégal. », a débuté cet avant-midi à l’école de criminologie. Cet atelier se tiendra pendant trois jours, soit du 09 janvier au 11 janvier 2018.
L’atelier s’est ouvert en présence de nombreuses autorités politiques et académiques sous un ton chaleureux. Parmi les objectifs spécifiques, figure en premier lieu le renforcement des capacités des Universités par rapport au défi sociétal majeur de la sureté des aliments et de la sécurité alimentaire. Cela s’inscrit dans les stratégies de l’AUF ayant trait à la gouvernance et l’assurance qualité au Maghreb et en Afrique sub-saharienne.
Le discours du Professeur Gilbert Kishiba Fitula, recteur de l’Université de Lubumbashi, a marqué l’ouverture de cette série de séances de travail regroupant les scientifiques de l’Unilu, de l’Université de Kinshasa, des Universités marocaine, sénégalaise, belge, italienne, portugaise et française.
Présidé par le Dr Didier Montet, Professeur à l’Université de Montpellier, pendant cet atelier l’on parlera de l’amélioration de la sureté sanitaire des aliments en ce qui concerne les pathogènes dans des denrées alimentaires ; l’amélioration de la protection des écosystèmes forestiers et biodiversité des ressources naturelles renouvelables.
Pour le compte de cette première journée il s’est agi d’identifier les dangers et réfléchir sur la dimension pragmatique des résultats des analyses faites au préalable, notamment apprendre aux citoyens lambda à œuvrer dans le secteur de la sécurité et de la sureté alimentaire.
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